Ce verdict fait suite à un recours collectif intenté en juillet 2020 au nom d'environ 98 millions d'utilisateurs et couvrant 174 millions d'appareils.
Les plaignants ont affirmé que les paramètres d'activité Web et d'application de l'entreprise induisaient les clients en erreur, permettant à Google de continuer à collecter, enregistrer et utiliser les données des appareils mobiles malgré ses assurances quant à la protection de la vie privée.
Ils réclamaient plus de 31 milliards de dollars de dommages et intérêts.
Un porte-parole de Google a déclaré à la BBC : "Cette décision méconnaît le fonctionnement de nos produits, et nous ferons appel. Nos outils de confidentialité permettent aux utilisateurs de contrôler leurs données, et lorsqu'ils désactivent la personnalisation, nous respectons ce choix."