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Un philosophe estime que les preuves sont trop limitées pour confirmer que l'IA a développé une conscience

Un philosophe estime que les preuves sont trop limitées pour confirmer que l'IA a développé une conscience

Les preuves sont beaucoup trop limitées pour déterminer si l'intelligence artificielle (IA) a développé une conscience.

Selon le Dr Tom McClelland, philosophe à l'université de Cambridge, les affirmations de plus en plus nombreuses concernant les machines sensibles vont bien au-delà de ce que la science et la philosophie peuvent actuellement soutenir.

Selon lui, la seule position défendable sur la conscience de l'IA est l'agnosticisme.

Le Dr McClelland a fait valoir que le problème ne réside pas simplement dans le manque de données sur les systèmes d'IA, mais dans une lacune beaucoup plus profonde dans la compréhension humaine.

Les scientifiques et les philosophes ne s'accordent toujours pas sur ce qu'est réellement la conscience, et encore moins sur la manière de la mesurer.

Dans la revue Mind and Language, il déclare : "Le problème principal est que nous n'avons pas d'explication approfondie sur ce qui rend quelque chose conscient en premier lieu. Dans le meilleur des cas, nous sommes à une révolution intellectuelle d'un test de conscience viable. Si ni le bon sens ni la recherche rigoureuse ne peuvent nous donner de réponse, la position logique est l'agnosticisme. Nous ne pouvons pas savoir, et ne le saurons peut-être jamais."

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