La décision a été prise à la suite d'un examen du directeur de l'information du pays, tandis qu'un porte-parole du gouvernement a déclaré que la plate-forme "présente un niveau inacceptable de risque pour la vie privée et la sécurité".
La Commission européenne a récemment annoncé une interdiction similaire, et le Premier ministre canadien Justin Trudeau a insisté sur le fait que les problèmes de sécurité liés à l'application étaient suffisamment importants pour justifier cette décision.
Il a déclaré : "C'est peut-être la première étape, c'est peut-être la seule étape que nous devons franchir".
L'application vidéo, qui appartient à la société chinoise ByteDance Ltd, a été critiquée pour son utilisation des informations personnelles et ses liens avec le gouvernement chinois.
La société a insisté sur le fait que les fonctionnaires du gouvernement chinois n'ont pas accès aux données des utilisateurs, tandis qu'une version chinoise de la plate-forme est distincte de celle utilisée dans le monde.
Toutefois, l'entreprise a admis l'année dernière que certains membres du personnel en Chine étaient en mesure d'accéder aux données des utilisateurs européens.