L'ancienne entraîneuse de Chelsea a pris les rênes de l'équipe féminine américaine en mai 2024 et elle est reconnaissante que le calendrier international soit moins chargé que celui des championnats nationaux, car cela lui laisse plus de temps pour planifier l'avenir.
Elle a déclaré au journal The Guardian : "J'apprécie d'avoir un peu plus de temps pour réfléchir entre les matchs, ce qui me permet de penser stratégiquement à ce qu'il faut faire au lieu d'avoir un match tous les trois jours. Je peux planifier à moyen et long terme au sein de la fédération, afin de tracer la voie non seulement pour l'équipe nationale féminine, mais aussi pour nos équipes nationales juniors, afin que les États-Unis continuent à rivaliser au plus haut niveau."